Création d’un potager et d’un compost et d’un récupérateur d’eau de pluie

Présentation de l’expérimentation

Création d’un potager, d’un compost et d’un système de récupération d’eau de pluie afin de fournir la nourriture pour nos repas collectifs du vendredi et surtout afin de sensibiliser les jeunes au circuit court de la consommation. Pour cela il faut agrandir le potager que nous avons déjà commencé à faire cette année, en construisant plus de bacs. Création d’un compost fonctionnel avec des vers de terre qui transforme les déchets organiques en terreau que l’on réutiliserait pour le potager et conception d’un
récupérateur d’eau de pluie afin d’irriguer notre potager.

Déroulement de cette expérimentation

Création d’un potager, d’un compost et d’un système de récupération d’eau de pluie afin de fournir la nourriture pour nos repas collectifs du vendredi et surtout afin de sensibiliser les jeunes au circuit court de la consommation. Pour cela il faut agrandir le potager que nous avons déjà commencé à faire cette année, en construisant plus de bacs. Création d’un compost fonctionnel avec des vers de terre qui transforme les déchets organiques en terreau que l’on réutiliserait pour le potager et conception d’un
récupérateur d’eau de pluie afin d’irriguer notre potager.

La Maison de jeunes Le Gué a décidé de faire appel à Tessa, membre de La Poudrière et de Molleke – un projet de sensibilisation et de mise en pratique de méthodes visant à la réduction des déchets – afin qu’elle nous fasse une formation potager et compost.

Quels étaient les enjeux de développement durable visés ?


Le compost et récupérateur d'eau correspondent à la catégorie énergie renouvelable et à la réduction de
la pollution et des déchets (pour le compost) et donc préservation de la biodiversité.
Le potager rentre dans les catégories : accessibilité financière (car nous utiliserons nos propres
produits lors des repas collectifs, entraînant une réduction des coups et par conséquent un prix réduit
pour les inscrits aux repas), préservation de la biodiversité, alimentation durable et raisonnée, et
production et consommation responsable.
Et les trois projets (compost, potager, et récupérateur d'eau) rentrent dans la catégorie partage de
savoir, car nous apprenons tous ensemble à prendre soin de la nature à travers ces projets.

Ascendance du projet : Comment les jeunes ont-ils été impliqués dans le projet ?

Les jeunes ne sont pas toujours investis, mais ils restent tout de même ouverts au projet ! La gestion du
budget s'est notamment faite par moi (Zoë).

Commentaire sur les conditions et difficultés de mise en place de l’expérimentation.


Nous avons peu de place pour le potager donc en termes de conditions pratiques cela serait plus facile un espace approprié, et également avec plus de jeunes plus sensibilisés à des sujet écologiques, nous aurions parfois moins de difficultés à mettre les ateliers en place.

Acquisition par les jeunes : ce qu’ils ont appris et expérimenté ?

C’est une démarche qui se base sur des ateliers collectifs. Le but est de sensibiliser les jeunes au développement durable, au principe du circuit court, par l’intermédiaire de la gratification qu’apporte le fait de faire pousser ses propres légumes.

Quelles difficultés/freins avez-vous rencontrés ? Avez-vous réussi à les dépasser ? Si oui, comment (leviers/pistes) ?

Comme évoqué plus haut, parfois un manque d'investissement de la part de certains jeunes. Mais nous avons réussi quand même à les motiver à nous aider en expliquant le sens et la magie de ce projet.



Réussir à motiver certains des jeunes qui paraissaient inintéressés par le projet à s'y joindre. Car en effet, il y en a certains qui ne voulaient vraiment pas s'impliquer dans le potager, et malgré cela nous avons réussi à en motiver quelques uns à rejoindre les autres dans les activités potager par moments.

Quelles ont été les plus grandes réussites de cette expérimentation ? Et le meilleur moment ?

Toute la partie de faire germer les graines, puis mettre les semis en pots et ensuite en pleine-terre. Et enfin de récolter nos propres légumes, comme nos radis.

C'est un projet qui tient dans le temps, et l'investissement des personnes qui y sont attachées ne faiblit pas.

Quels ont été les retours des jeunes tout au long du projet (aspects positifs et négatifs) ? Avez-vous des témoignages à partager ?

Aspect négatifs pour les jeunes : très physique (désherbage etc.) et parfois long et répétitif (semis notamment).

Aspects positifs pour les jeunes : activités manuelles qui leur fait du bien, manipuler des êtres vivants, respect de la nature, appréciation du principe du circuit court.

Photos de l’expérimentation.

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